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Il faut bien distinguer les deux familles : les VTC pour celles et ceux qui veulent de la polyvalence (ville + chemins + balades), et les vélos de ville pour celles et ceux qui roulent principalement en milieu urbain.
Les VTC sont les couteaux suisses du cyclisme : position à moitié sportive, pneus qui passent partout, suspensions pour absorber les petits chocs... Idéal pour une utilisation travail en ville la semaine, et balades le week-end à la campagne.
Les vélos de ville classiques sont plus confortables et pratiques. Une position droite, des accessoires utiles (garde-boue, porte-bagages, carter de chaine), transmission simple, mais efficace. Taillés pour la ville.
Amortisseur avant, position relevée (dos droit), pneus passe-partout. Vélos polyvalents par excellence. Budget : 400-900€.
Cadre bas en forme de U, position très droite, stabilité rassurante. Un vélo inusable avec des finitions soignées. Budget : 500-1000€.
Plus léger et dynamique que le Hollandais, ce vélo a un cadre fermé traditionnel, une position confortable et un équipement complet. Moins de style, mais plus efficace ! Budget : 500-1000€.
La version sportive du VTC : géométrie dynamique et transmission performante. Pour celles et ceux qui veulent faire du sport dans leurs trajets quotidiens. Budget : 500-1500€.
Selon l'usage, encore une fois. En dessous d'une distance parcourue moyenne de 5 km, un vélo de ville suffit amplement. Entre 5 et 15 km, un VTC ou vélo de ville selon le terrain. Et au-delà de 15 km, un VTC fitness ou électrique.
Selon le type de route : Bitume ⇒ vélo urbain. Bitume + chemins de temps en temps ⇒ VTC. Pavés et routes accidentées ⇒ VTC avec amortisseurs.
Selon le dénivelé : ville plate ⇒ 3 vitesses suffisent ou même mono-vitesse. Collines légères ⇒ 7 à 8 vitesses. Côtes franches ⇒ 21 vitesses minimum.
Selon la fréquence : usage quotidien ⇒ optez pour des modèles qualitatifs milieu/haut de gamme. Occasionnel ⇒ entrée de gamme convient.
L'entretien d'un vélo tout-chemin ou de ville ne change guère d'un autre type de vélo. À savoir, faire réviser son vélo tous les ans ou lorsque des problèmes surviennent tels que les vitesses qui sautent, les freins qui frottent ou manquent d'efficacité, la direction qui accroche, etc.
Aussi, ne pas oublier que la chaine se change tous les 3000/5000 kms, les pneus tous les 5000/8000 kms, les patins de frein tous 1000/3000 kms.
Toujours penser à bien protéger son vélo, en choisissant le bon stationnement, avec un antivol, marquage antivol et en bonus, l'assurer.
Un trajet de 10 km en voiture émet environ 2 kg de CO2. Le même à vélo = 0 kg. Sur un an de ce qu'on appelle « vélotaf » (utiliser son vélo pour se rendre à son travail), c'est près d'une tonne de CO2 évitée.
Côté budget, une voiture peut couter des milliers d'euros par an (achat, assurance, carburant, entretien). Un vélo : 50 à 150 € d'entretien sur la même période ! Même avec un vélo à 1 500 €, vous êtes rentable dès la première année...
Pour la santé, 30 minutes de vélo quotidien réduisent de 50% les risques cardiovasculaires et améliorent le sommeil.
Les aménagements cyclables s'améliorent partout en France, et de nombreuses villes proposent des aides à l'achat jusqu'à 500 €. Renseignez-vous en mairie ou auprès de nous.
Aidez-vous de notre guide de taille présent sur chacune des fiches articles de nos vélos.
Si vous roulez uniquement sur du bitume, optez pour un vélo de ville. Si trajet mixte ou routes un peu plus dégradées : VTC.
Absolument. Ne pas rouler exprès dans les flaques d'eau et ne pas freiner sur les marquages blancs au sol (glissants).
Ville sans dénivelé : 1 à 3 suffisent. Relief varié : 21 vitesses. Entre les deux : 7-8 vitesses.
Vous pouvez choisir des pneus anti-crevaison (Schwalbe, Continental en proposent). Roulez à bonne pression, ne prenez pas de trottoirs. Il est envisageable d'opter pour des pneus tubeless également. Sachez que le 0 crevaison n'existe pas, mais vous pouvez changer de pneus tous les 2 ans en faisant attention.
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